Dans l’Éducation nationale, les réformes se suivent parfois à un rythme effréné, au gré des changements de majorité politique, dans un temps court peu compatible avec le temps de l’école. On se prend à rêver d’un consensus national qui permettrait d’installer une réforme dans un temps long. C’est peut-être faire fi de ce que Xavier Pons appelle le « populisme éducatif ».
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