L’étude récemment publiée par Gilles-Éric Seralini dans Food and Chemical Toxicology, avant d’en être retirée, a défrayé la chronique, alimenté le buzz sur Internet, dans la presse papier grand public et spécialisée.
Elle a aussi pu susciter des incompréhensions sur les motivations des chercheurs à l’origine de cette publication : comment une équipe de haut niveau peut-elle monter un protocole aussi contesté dans sa capacité à répondre à la question posée, comment une revue aussi reconnue peut-elle accepter de publier une étude aussi décriée par les pairs, avant de la retirer ?
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