La plupart des inscrits aux cours (dans le cas de Stanford qui gère des MOOCs de plusieurs dizaines de milliers d’élèves) sont des élèves extérieurs à l’Université qui n’ont pas, au départ, forcément la volonté de suivre le cours de A à Z ni sans doute le niveau. Je pense qu’on peut comparer le suivi d’un MOOC a un régime sévère ou à l’entraînement pour un marathon : on peut toujours le débuter mais c’est un effort de longue durée qui nécessite une grande motivation initiale.
Condamner les MOOC au prétexte que seul un petit pourcentage d’élèves arrive au bout revient à condamner toutes les méthodes de régimes, d’entraînement, etc…

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