Le défi d’avoir à convaincre ceux qui persistent à continuer le procès des TIC en éducation (c’est-à-dire si les technologies et le numérique devraient ou ne devraient pas avoir une place en salle de classe) reste concret.
Comme le dit si bien Ron Canuel, DG de l’Association canadienne d’éducation, en remettant en question la place des TIC en éducation équivaut à une approche « death by delay »…
Pendant ce temps, trop de jeunes continuent de jouer la game de l’école, qui fondamentalement reste calquée sur un modèle conçu et avancé par une poignée de penseurs au 19e siècle. La formation initiale des futurs enseignants est un élément-clé pour que ces derniers voient leur profession être toute autre de ce qu’elle est/a été depuis le 19e siècle… Faut casser le moule, à mon avis.
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