Laurent Fillion, sur son blogue, rappelait récemment et fort à propos comment le président Jules Grévy, en 1880, aurait pu décider de fournir à tous les élèves de France des manuels de classe. L’auteur fait état des réactions drolatiques des instituteurs et de leurs syndicats à propos de ce nouvel outil censé les priver supposément de leur mission instructrice :
« À quoi servira désormais l’instituteur si le savoir sort d’un manuel et non plus de sa bouche ? ».

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