Au Chaos Communication Congress, la fine fleur de la communauté des hackeurs tente de défendre un monde numérique plus équitable. Non sans peine.
Il y a quelques années à peine, Internet devait libérer les peuples, ouvrir l’accès à la connaissance et faire tomber les barrières sociales. Depuis quelque temps, ce plan de vol initial et utopique, adapté au rythme d’ingérences étrangères sur les réseaux sociaux, de la prolifération des discours haineux en ligne ou de la collecte sans fin de données personnelles, a pris un coup dans l’aile.
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