Année après année, les études qui ont suggéré que moins de 60 % du trafic Web est humain se sont succédées, précisant qu’une bonne partie du trafic web est constitué de bots. D’ailleurs selon le New York Times, pendant un certain temps en 2013, la moitié du trafic sur YouTube était « des bots se faisant passer pour des humains », un pourcentage si élevé que les employés craignaient un point d'inflexion après lequel les systèmes de détection de trafic frauduleux de YouTube commenceraient à marquer le trafic bot comme étant le trafic réel et le trafic humain comme étant le trafic factice.
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