Avec le digital, le risque qui fait trembler les dirigeants est celui de l’ubérisation : que de nouveaux acteurs rendent complètement obsolètes les acteurs historiques en servant d’intermédiaire (souvent grâce au digital) entre le producteur (ou l’expert) et le consommateur (ou celui qui cherche un service.) Or, ce danger n’est pas vraiment celui de l’enseignement supérieur.
Le vrai danger, c’est celui de la kodakisation !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire