Après deux mois de confinement, certains ont du mal à sortir de chez eux. Sont-ils devenus des « hikikomori », du nom de ces jeunes Japonais qui restent cloîtrés au domicile familial par refus du monde extérieur ? La réponse de Natacha Vellut, psycho-sociologue au laboratoire Cermes 3.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire