Faire co-écrire les élèves crée une dimension de responsabilité dès lors qu’ils publient leurs informations « en mouvement » et « à plusieurs mains » : l’écriture collaborative permet de relier les connaissances individuelles des élèves dans un savoir collectif.
Comment le professeur-documentaliste peut-il prendre en compte ces compétences à la fois intellectuelles et sociales?
Ces conditions pédagogiques peuvent permettre à l’élève d’interagir avec ceux de sa classe, voire en dehors, ajoutant une dimension responsabilisante d’une écriture en ligne qui est “vue” et “lue”. Comment ouvrir l’espace clos de la classe à un espace public mais citoyen, en utilisant des outils qui favorisent la collaboration et la publication de la pensée “en acte” de l’apprenant ?
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