Comprendre que le cerveau est infiniment plus efficient en mode collaboratif, que le stress a des impacts extrêmement néfastes, induit un management plus tourné vers le bien-être social, favorisant la performance humaine et donc celle de l’entreprise.
Le terme de « neuromanagement » est ainsi apparu il y a peu et s’intéresse à l’intelligence humaine dans les entreprises, notamment pour les accompagner dans la conduite du changement permanent qui est le leur, mais aussi pour améliorer la productivité à travers le développement de la qualité de vie au travail (QVT).
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