Le constat, parti des observations de classe de ma collègue et moi, a fait état en mars/ avril d’une réelle démotivation ou lassitude de nos élèves de 3è (quatre classes concernées sur 6) en termes d’activités langagières en cours.
La séquence abordée (street art or vandalism ?), contre toute attente, n’a pas suscité d’intérêt particulier. Nous avons alors compris que le street art était très peu connu dans les classes : l’occasion toute trouvée de le faire découvrir in situ à Lyon (quartier Croix Rousse, chargé d’histoire) et Grenoble (de plus en plus connu pour son festival de street art). Les associations locales contactées, ravies de l’originalité du projet et du partage de leur passion, ont répondu très vite.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire