C’est en tout cas ce que défendent les 314 enseignants du primaire, du secondaire et du supérieur qui, mardi 7 novembre, ont apposé leur signature en bas d’un « manifeste », dans lequel ils disent avoir cessé – ou s’apprêter à cesser – d’enseigner la règle de grammaire résumée en une petite formule connue de tout un chacun : « Le masculin l’emporte sur le féminin. » On n’écrirait donc plus « les hommes et les femmes sont beaux » mais « belles ». « Les hommes et les femmes sont contentes » plutôt que « contents ».
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