" Au regard des études antérieures, il apparaît que la variable « sexe » est à prendre en considération dans le phénomène d’épuisement, d’engagement et, plus globalement, de la qualité de vie professionnelle", note une étude de la Depp (division des études du ministère) publiée dans la revue Éducation et formations n°99.
Emma Guillet-Descas et Vanessa Lentillon-Kaestner montre que le taux de burn out des enseignantes est plus élevé que celui de leurs collègues masculins. Mais aussi qu'il est plus fort en France qu'en Suisse. Ce qui indique que les conditions de travail, plus difficiles en France qu'en Suisse, y contribuent.
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