Internet correspond entre 5 à 9 % de la consommation électrique mondiale et 2 % des gaz à effet de serre. Autant dire que le numérique n’est pas gage nécessairement d’écologie, loin de là. Conséquemment, certains créateurs ont voulu bâtir des moteurs de recherche écologiques.
Un reportage du Monde s’est penché sur deux d’entre eux : Ecosia et Lilo. Le premier finance du reboisement sur la planète avec les requêtes et le deuxième verse ses profits à des organisations défendant les sources d’eau potable.
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