En France, avant les années 1970, la sexualité, entendue au sens de la sexualité reproductive hétérosexuelle, était une affaire réservée au cadre de la famille et non un sujet d’éducation publique. Puis, à l’occasion de diverses « affaires » qui ont notamment mis en avant la dimension du plaisir dans la sexualité, elle a commencé à être regardée plus directement par les instances publiques.
En 1973, une première circulaire, dite « Fontanet », a porté « l’information sexuelle » au programme de biologie. À partir de là, des mises à l’épreuve ont contribué à construire une « éducation » aux sexualités socialement validée, mais aussi sans cesse remise en question.
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