Voici ce que Suzanne, maman vivant en grande banlieue d'Atlanta, a expliqué à l'institutrice de son fils pour la convaincre qu'il ne pouvait pas (encore) entrer à l'école. Comme elle, des dizaines de mères bataillent avec directeurs et enseignants dès le mois de février. Objectif : faire en sorte que leur rejeton intègre le système scolaire avec un an... de retard.
Impensable en France, où les parents ont plutôt tendance à vouloir à tout prix faire sauter des classes à leurs petits, course à la précocité oblige.
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