Le sociologue développe le concept de «digital labor», le travail qui ne dit pas son nom, produit par les internautes qui alimentent les réseaux sociaux. Il défend l’idée d’un «revenu de base universel» en taxant les grandes firmes numériques.
Et si chacun de nos tweets, posts, commentaires ou contributions en ligne était en fait assimilable à un travail qui ne dit pas son nom ? Et si chaque internaute était une petite main au service des Google, Amazon et autres Facebook ?
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