Le phénomène de Ghostwriting ou d’écrivain fantôme est soupçonné de prendre de l’ampleur même dans les meilleures universités de nombreux pays dans le monde. Il s’agit d’une pratique de facilité dans laquelle des étudiants se paient les services d’autrui pour rédiger à leur place des travaux universitaires notamment thèses et mémoires. À l’instar des plagiats, il s’agit d’un phénomène qui préoccupe les universités et grandes écoles, mais contre lequel il n’y a jusqu’à présent pas vraiment de moyen de détection et de lutte.
Une startup romande basée à Martigny a donc décidé de se lancer à la chasse des étudiants qui ont recours à cette forme de tricherie, grâce à un logiciel actuellement en phase de test, qui permettrait de détecter cela.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire