Il se décrit comme un « aventurier » dans l’univers des savoirs. Pierre Dillenbourg, 55 ans, a un parcours de précurseur.
D’abord instituteur dans son pays natal, la Belgique, il s’inscrit à un master en sciences de l’éducation à l’université de Mons : « jeune idéaliste », il voulait « changer la formation des enseignants », afin de « changer le monde ». Esprit curieux, il découvre les balbutiements de l’intelligence artificielle et, en 1985, consacre son mémoire de master à « l’apprentissage automatique en informatique et à ses applications pour qu’un logiciel éducatif s’auto-améliore avec le temps ».
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