Que celui qui n’a jamais galéré avec ces accords se lève ! Depuis le XVIe siècle, les pauvres apprenants de langue française se battent avec ce cruel tyran qui revêt plusieurs aspects. Incapable de s’accorder d’une seule et même façon, il faut d’abord pouvoir le cerner et déterminer dans lequel des contextes il se trouve, puis adapter son accord à celui-ci. Seul, avec l’auxiliaire avoir, avec l’auxiliaire être, dans un contexte pronominal, le casse-tête est sans fin…
Depuis longtemps on cherche à l’éviter, mais il semblerait que le mois de septembre 2018 marque un début de rébellion sérieuse dans la grammaire française : la réforme du participe passé !
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