En substance, le propos est toujours le même : les MOOC n’ont pas apporté de révolution dans l’enseignement supérieur. Leur taux de complétion catastrophique, leur faible qualité pédagogique en font des sous-produits de la culture digitale universitaire. Par conséquent, il est fortement recommandé d’abandonner la production de MOOC, véritable machine à dévorer le temps et l’argent des universités, et de se consacrer à autre chose (la véritable formation en ligne, par exemple). Circulez, y a plus rien à voir.
Ces articles désabusés passent à côté d’éléments importants.
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