Les sciences cognitives apportent une description de plus en plus détaillée des mécanismes de l'apprentissage et des troubles qui leur sont associés, comme la dyslexie, la dyscalculie et la dyspraxie. Les expériences menées en laboratoire et les compilations d'études scientifiques ont ainsi permis de valider plusieurs hypothèses sur la meilleure façon d'apprendre à lire, à mémoriser, à compter ou à raisonner. Mais les effets bénéfiques de ces pratiques s'estompent dès lors qu'on les teste en classe. Pour réussir ce passage à l'échelle, la formation des enseignants aux résultats de la recherche et à la méthode expérimentale pourrait être un levier crucial.
Dans ce nouveau numéro, La Recherche met les sciences cognitives à l'épreuve des classes.
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