Début avril, une chercheuse américaine du nom de Jennifer Walsh publiait une étude sur l'influence néfaste des réseaux sociaux sur le succès des étudiants à leurs examens. Selon cette étude, certaines activités digitales, comme passer du temps sur les réseaux sociaux ou surfer sur Internet, auraient une influence particulièrement négative sur la réussite des futurs diplômés.
Alors que la période des révisions bat son plein en France, les épreuves du baccalauréat débuteront le 17 juin, il semblait nécessaire de revenir sur cette étude et de pousser le raisonnement.
Le but étant de rééquilibrer le débat : si certaines activités digitales peuvent nuire à la réussite scolaire, bien maîtrisés, certains usages numériques peuvent se révéler être des armes pédagogiques redoutables.
À condition toutefois de respecter quelques règles.
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