Si nous partageons les mêmes objectifs, c’est plutôt le “comment” qui nous échappe. Nous éprouvons une difficulté à impulser les changements nécessaires pour y parvenir concrètement. Nous initions pourtant des opérations dites “participatives”. Mais elles sont bien souvent ni tout à fait ouvertes, ni tout à fait engageantes auprès de visiteurs sur lesquels le musée a tendance à vouloir “garder la main”. Ces opération restent souvent sans impact profond dans l’intégration à part entière des visiteurs comme acteurs de la vie du musée, dans son déroulement, dans ses projets.
Une plate-forme de travail collaboratif est un espace de travail virtuel qui permet à un groupe de personnes
d'échanger et de travailler en collaboration sur des documents et des outils communs
jeudi 17 octobre 2013
Changer les musées et les bibliothèques en propulseurs des biens communs
Nous sommes nombreux dans les musées et les bibliothèques (les GLAMs plus largement) à vouloir ouvrir nos structures, laisser les visiteurs à y prendre une place plus importante, à vouloir ouvrir nos contenus, et inciter les utilisateurs à se les ré-approprier.
Si nous partageons les mêmes objectifs, c’est plutôt le “comment” qui nous échappe. Nous éprouvons une difficulté à impulser les changements nécessaires pour y parvenir concrètement. Nous initions pourtant des opérations dites “participatives”. Mais elles sont bien souvent ni tout à fait ouvertes, ni tout à fait engageantes auprès de visiteurs sur lesquels le musée a tendance à vouloir “garder la main”. Ces opération restent souvent sans impact profond dans l’intégration à part entière des visiteurs comme acteurs de la vie du musée, dans son déroulement, dans ses projets.
Si nous partageons les mêmes objectifs, c’est plutôt le “comment” qui nous échappe. Nous éprouvons une difficulté à impulser les changements nécessaires pour y parvenir concrètement. Nous initions pourtant des opérations dites “participatives”. Mais elles sont bien souvent ni tout à fait ouvertes, ni tout à fait engageantes auprès de visiteurs sur lesquels le musée a tendance à vouloir “garder la main”. Ces opération restent souvent sans impact profond dans l’intégration à part entière des visiteurs comme acteurs de la vie du musée, dans son déroulement, dans ses projets.
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