Être partisan de la notion de propriété intellectuelle invite à répondre : rien d’autre qu’un « moi » clairement identifiable à l’état civil, mon « moi » qui pourra réclamer son dû, en monnaie sonnante et trébuchante, chaque fois qu’autrui jouira des idées produites par « moi » (lire mon livre et en partager un extrait avec d’autres – par exemple avec des élèves si l’on est enseignant ; écouter ma musique et danser dessus avec des amis ; reproduire une molécule que j’ai synthétisée le premier, etc.).
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