Commençons par un aphorisme provocateur : ceux qui ont critiqué le B2i et ses successeurs, ceux qui ont freiné sa mise en place sont en grande partie responsable du fait qu’aujourd’hui la culture technologique des enseignants soit aussi faible.
Même ceux qui dénoncent cette faiblesse et tentent d’imposer aujourd’hui un enseignement d’informatique (aux élèves et aux enseignants) faisaient partie de ceux-là qui critiquaient le B2i, le C2i et autres certifications créées entre 2000 et 2006 et inscrite dans la loi, mais jamais appliquée réellement. Pourquoi ces critiques et surtout pourquoi cette pression d’aujourd’hui ?
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