« J’ai choisi d’y aller justement pour pouvoir présenter le bac en candidat libre et intégrer l’université française ensuite », explique-t-elle. Sa mère, enseignante à l’université, et son père, ingénieur, ont dépensé 190 000 dinars (environ 1 400 euros) par an pour son inscription dans un collège privé. Ils paient désormais 350 000 dinars l’année pour le lycée.
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lundi 26 novembre 2018
En Algérie, partir étudier à l’étranger pour « peser plus lourd sur le marché du travail »
Dans la médiathèque de l’Institut français d’Alger, ce samedi après-midi, Lina, 15 ans, ne cache pas son désarroi. « C’est vraiment injuste », soupire la lycéenne venue réviser ses cours. Elle est inscrite en 1ère dans un établissement privé qui suit le programme de l’éducation nationale française.
« J’ai choisi d’y aller justement pour pouvoir présenter le bac en candidat libre et intégrer l’université française ensuite », explique-t-elle. Sa mère, enseignante à l’université, et son père, ingénieur, ont dépensé 190 000 dinars (environ 1 400 euros) par an pour son inscription dans un collège privé. Ils paient désormais 350 000 dinars l’année pour le lycée.
« J’ai choisi d’y aller justement pour pouvoir présenter le bac en candidat libre et intégrer l’université française ensuite », explique-t-elle. Sa mère, enseignante à l’université, et son père, ingénieur, ont dépensé 190 000 dinars (environ 1 400 euros) par an pour son inscription dans un collège privé. Ils paient désormais 350 000 dinars l’année pour le lycée.
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