Lors de nos exercices PPMS (ceux où il faut se cacher) nous avions beaucoup de mal à obtenir le silence de nos élèves. Entre ceux qui papotaient, ceux qui se bousculaient, ceux qui pouffaient, voire rigolaient carrément, c’était compliqué.
Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils n’étaient pas stressés, nos élèves. Tant mieux, vous me direz, mais on était bien embêtées, avec les collègues, parce que, justement, on ne voulait pas entrer dans le registre « si tu parles on va tous mourir », mais on voulait quand même qu’ils essaient de jouer le jeu. On faisait les gros yeux sur le moment, on ronchonnait après, mais c’était trop tard.
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