L’enseignement de l’anglais intensif en sixième année ne compromet pas la réussite du français et des mathématiques et pourrait même la promouvoir, conclut une étude du ministère de l’Éducation.
Des chercheurs ont comparé le taux de réussite aux examens ministériels d’élèves québécois de sixième année ayant suivi le programme d’anglais intensif et d’autres ayant reçu l’enseignement régulier de la langue seconde.
« Il apparaît qu’en plus de contribuer au développement des compétences en anglais, l’enseignement intensif de l’anglais langue seconde pourrait favoriser les apprentissages en français et en mathématique », indique notamment l’étude, publiée à la fin juillet.
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