Une étude faite par l'université Laval et discutée sur le site d'ACFAS montre encore qu'une des embûches les plus importantes est la question de la maternité. En effet, dans ces milieux très compétitifs, avoir des enfants ne fait presque pas de sens étant donné qu'elles donnent une majorité des soins aux petits. Certaines se sont fait dire de ne surtout pas tomber enceinte dans les cinq premières années de leur carrière, au risque de ne jamais gravir d'échelons. Et puis, les exigences élevées de ces environnements font que les recruteurs trouvent les CV des femmes bien souvent plus "faibles" que ceux des hommes.
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mercredi 4 mars 2020
Les femmes en sciences et génie : embûches et progressions
La situation des femmes dans les facultés a de quoi fasciner : elles sont majoritaires dans de nombreux domaines dont la médecine et le droit. Or, dans les facultés de génie, elles sont minoritaires. Dans les milieux professionnels, elles sont aussi sous-représentées en sciences et en génie. Mais qu'est-ce qui empêchent ces dames de s'y retrouver ?
Une étude faite par l'université Laval et discutée sur le site d'ACFAS montre encore qu'une des embûches les plus importantes est la question de la maternité. En effet, dans ces milieux très compétitifs, avoir des enfants ne fait presque pas de sens étant donné qu'elles donnent une majorité des soins aux petits. Certaines se sont fait dire de ne surtout pas tomber enceinte dans les cinq premières années de leur carrière, au risque de ne jamais gravir d'échelons. Et puis, les exigences élevées de ces environnements font que les recruteurs trouvent les CV des femmes bien souvent plus "faibles" que ceux des hommes.
Une étude faite par l'université Laval et discutée sur le site d'ACFAS montre encore qu'une des embûches les plus importantes est la question de la maternité. En effet, dans ces milieux très compétitifs, avoir des enfants ne fait presque pas de sens étant donné qu'elles donnent une majorité des soins aux petits. Certaines se sont fait dire de ne surtout pas tomber enceinte dans les cinq premières années de leur carrière, au risque de ne jamais gravir d'échelons. Et puis, les exigences élevées de ces environnements font que les recruteurs trouvent les CV des femmes bien souvent plus "faibles" que ceux des hommes.
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