Les fortes paroles ci-dessus, en titre, sont issues d’un discours de Vincent Peillon, ex-ministre de l’Éducation, le 10 juin 2013 — presque deux ans déjà ! que de temps perdu… — qui faisait dans un lycée parisien un premier point d’étape de sa stratégie d’entrée de l’école dans l’ère du numérique. Dans le billet dans lequel je rapportais tout cela (1), je me faisais l’écho d’autres paroles importantes.
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