Toutes les sources de retrait volontaire n’ont pas la même importance si l’on s’engage dans une démarche de réduction de l’attrition. Au vu de la dominance apparente des logiques épistémique (la connaissance comme but en soi) et opératoire (gagner en efficacité dans son travail), c’est sur ces deux cas de figure qu’il faudrait sans doute se pencher davantage. Mon hypothèse est que le retrait volontaire s’explique largement par l’inadéquation entre la logique opératoire qui anime la majorité des participants, et la logique du dispositif, pas franchement orientée vers les professionnels.

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