Invitée à se positionner sur la généralisation des logiciels « anti-plagiat » au sein des universités françaises, la ministre de l’Éducation nationale et de l’enseignement supérieur vient d’expliquer à un député que ses services épaulaient les différents établissements afin qu’ils puissent bénéficier notamment de tarifs moins élevés.
Une façon de faire comprendre qu'elle ne trouve rien à redire à un tel déploiement.
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