Antoine de Saint-Exupéry est en effet « mort pour la France ». Il bénéficie alors à ce titre d’une étrange exception législative bien de chez nous ajoutant 30 ans de plus à la durée (déjà longue) du droit d’auteur. La juriste belge Séverine Dusollier nous l’expliquait ici-même dans L’odyssée du Petit Prince dans le domaine public. Écoutons-là, le 28 janvier, évoquer le sujet lors de la conférence du festival Les enjeux politique et juridiques du domaine public.
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