Les grandes villes sont facilement reconnaissables à une chose : l’art de rue. De gigantesques fresques murales aux graffitis sur un mur de béton aux tags qui se retrouvent partout, tous ne sont pas appréciés de la même façon. Les tagueurs sont souvent vus comme de petits délinquants marginaux qui ne veulent que salir l’espace public.
Or, heureusement, certains vont au-delà des apparences. Dans les
années 90, un ethnologue de Paris 8 en accoste un dans le métro. Alors
que ce dernier pense qu’il va se faire réprimander ou dénoncer à la
police, il est plutôt invité à la faculté. Ainsi commence ce
rapprochement entre le monde universitaire et celui de la rue pour
comprendre son langage artistique, qu’il soit visuel ou musical.
D’ailleurs, cette association qui durera cinq ans mènera même à des
carrières d’artistes du hip-hop.
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