Dans un souci de minimiser les couts tout en conservant la qualité des logiciels utilisés, l’État français a défini depuis 2012, un cadre de convergence des logiciels libres à privilégier ou à abandonner dans le développement des systèmes d’information de ses ministères. L’ensemble des logiciels libres préconisés se présente sous la forme du socle interministériel de logiciels libres (SILL), c’est-à-dire sous la forme d’un tableau actualisé annuellement et répertoriant les logiciels conseillés ou abandonnés par l’État
français.
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