Que ce soit au musée, au cinéma, à la télévision, dans les livres ou dans les jeux vidéo, les images ont cette capacité d’émouvoir, d’ébranler, de faire rêver, de raviver des souvenirs ou de stimuler nos désirs. Comment est-ce possible? Quels sont les mécanismes qui opèrent lors de la réception d’une œuvre ?
Maxime Coulombe, professeur au Département des sciences historiques de l’Université Laval, aborde ces questions dans Le plaisir des images, un essai publié aux Presses universitaires de France/Humensis.
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