Uniquement en 2016, 65 millions de personnes devaient quitter leur pays à cause des violences et persécutions. Là-dessus, plus de la moitié avaient moins de 18 ans. Ce qui veut donc dire qu’il s’agit d’enfants et adolescents de différentes nations du Moyen-Orient et de l’Afrique qui doivent tout de même recevoir une scolarisation. Une approche qui n’est pas évidente dans un contexte d’urgence.
Ainsi, l’UNESCO a mis en place une chaire de recherche qui cherche à amasser les données sur la réalité, par exemple, des camps de réfugiés. Comment arrive-t-on à enseigner à de grands groupes de langues différentes ? Y a-t-il suffisamment de ressources pédagogiques mais aussi psychologiques puisque ces jeunes ont souvent vécu des traumatismes ? Les réponses ne se trouvent que dans des portraits clairs permettant d’établir des plans de scolarisation adéquats.
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