Défendue par les un.e.s au nom de l’attractivité et de la compétitivité internationale (par le président-directeur général du CNRS ou un professeur de médecine), décriée par d’autres pour la précarisation, les inégalités accrues et un affaiblissement du service public de la recherche (en particulier pour les femmes et les jeunes chercheur.ses), la loi risque en tout cas de modifier l’organisation de l’enseignement supérieur et de la recherche en France – même si le principe de la concurrence n’est pas nouveau, comme le montre cette mise en perspective historique de Jérôme Aust.
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