Défendue par les un.e.s au nom de l’attractivité et de la compétitivité internationale (par le président-directeur général du CNRS ou un professeur de médecine), décriée par d’autres pour la précarisation, les inégalités accrues et un affaiblissement du service public de la recherche (en particulier pour les femmes et les jeunes chercheur.ses), la loi risque en tout cas de modifier l’organisation de l’enseignement supérieur et de la recherche en France – même si le principe de la concurrence n’est pas nouveau, comme le montre cette mise en perspective historique de Jérôme Aust.
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vendredi 28 février 2020
LPPR: avis de tempête sur l’enseignement supérieur et les revues scientifiques
Avant même sa présentation publique, la loi sur la programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR), qui se fonde sur trois rapports remis à la ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche (ESR), fait des vagues au sein de la communauté universitaire française.
Défendue par les un.e.s au nom de l’attractivité et de la compétitivité internationale (par le président-directeur général du CNRS ou un professeur de médecine), décriée par d’autres pour la précarisation, les inégalités accrues et un affaiblissement du service public de la recherche (en particulier pour les femmes et les jeunes chercheur.ses), la loi risque en tout cas de modifier l’organisation de l’enseignement supérieur et de la recherche en France – même si le principe de la concurrence n’est pas nouveau, comme le montre cette mise en perspective historique de Jérôme Aust.
Défendue par les un.e.s au nom de l’attractivité et de la compétitivité internationale (par le président-directeur général du CNRS ou un professeur de médecine), décriée par d’autres pour la précarisation, les inégalités accrues et un affaiblissement du service public de la recherche (en particulier pour les femmes et les jeunes chercheur.ses), la loi risque en tout cas de modifier l’organisation de l’enseignement supérieur et de la recherche en France – même si le principe de la concurrence n’est pas nouveau, comme le montre cette mise en perspective historique de Jérôme Aust.
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