Les étudiants en formation initiale nous rapportent des situations de classe où les émotions négatives des élèves occupent une place importante. Quelle que soit l’origine de ces émotions, les étudiants disent se sentir bloqués ou démunis. Ils ont pourtant conscience que cette dimension est essentielle pour pouvoir enseigner, qui plus est dans un contexte d’école inclusive, mais ne savent pas comment s’y prendre. Ils semblent opposer une approche didactique, plus rationnelle, des apprentissages à une approche incarnée qui prendrait les élèves comme sujets aux prises avec les apprentissages.
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