Il n’y a pas si longtemps, lorsqu’on me parlait d’une « classe flexible », je m’imaginais une classe remplie de ballons, de tables hautes et de chaises-tulipes. J’imaginais une classe où l’élève pouvait choisir son assise. Ça s’arrêtait là.
Grâce à Marius Bourgeoys et son article La classe « flexible »? et au CréaCamp de Neufchâtel, ma vision a évolué et je me suis rendu compte que c’est dans mon enseignement même que je peux démontrer de plus en plus de flexibilité, et ce, même si je n’ai aucun mobilier de ce type!
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