Deux sujets liés à l’éducation ont retenu l’attention des médias récemment : la piètre qualité du français des futurs enseignants et la question de l’innovation, voire de l’intégration du numérique à l’école. Dans le premier cas, il m’a semblé que l’on avait effleuré le sujet en s’attardant au taux d’échec (53 % en 2016) du TECFFE (test de certification en français écrit pour l’enseignement) et en s’interrogeant sur les modalités de passation dudit test. Une, deux ou trois reprises ? Une sélection plus sévère ? Dans cet article récent, on rapporte aussi les propos de M. Striganuk, président de l’ADEREQ (Association des doyens et doyennes, directeurs et directrices pour l’étude et la recherche en éducation au Québec), qui rappelle que ce test se veut aussi une façon de faire comprendre aux étudiants que la qualité de la langue est importante.
Sans blague ? Est-ce qu’un test peut nous rappeler autre chose que la note obtenue ? On est loin de la motivation intrinsèque…
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