Chaque apprenant a des forces et faiblesses par rapport à des éléments du cursus scolaire que ce soit les langues, les sciences, l’éducation physique, etc. Or, peu de matières occasionnent des situations aussi viscérales que les mathématiques. L’anxiété mathématique toucherait un tiers des jeunes lorsqu’ils tentent de résoudre un problème.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire