jeudi 12 juin 2014

En classe, plus ça rate, plus on a de chances que ça marche

Loupé, raté, bide, loose, fiasco, tout enseignant connaît au cours de sa carrière ces moments où ce que l’on avait prévu pour les élèves tombe à l’eau.
Emmener sa classe en salle informatique pour une activité consciencieusement préparée, voir ce satané réseau planter et une forêt de doigts se lever lançant éperdument des « SOS M’sieur ! ». Ne pas retrouver les photocopies prévues pour la séance mais qu’on est sûr et certain d’avoir faites et les retrouver cinq minutes après la fin du cours dans son bazar organisé. Prévoir de visionner une vidéo sur le net mais, pas de chance, le débit dépite, la vidéo lag et l’étude est remise au cours prochain. Mais, au fil des années, on apprend de nos ratés. C’est qu’on dégainerait presque des plans B avec un calme olympien.
Comme le dit cette formidable devise Shadok : « Plus ça rate, plus on a de chance que ça marche ».

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